Nous sommes tous concernés par le redéveloppement des forêts indispensables à l’équilibre écologique, notre ressource en oxygène pour les décennies et les générations à venir. Lorsqu'une forêt brûle, c'est toute la planète qui tousse. Et pour longtemps.

En 2019, notre Planète a été décimée par des incendies géants et incontrôlables.
Et nous observons que le "il était une fois" devient "Il est chaque année" ; une certaine douceur est perceptible l'hiver, les étés ont des épisodes caniculaires. 
Les habitants des contrées froides en sont les témoins inquiets... Le processus du réchauffement climatique s’accélère particulièrement sur les Pôles. Or, la forêt russe est LE poumon vert planétaire : la plus grande forêt du monde (8,5 millions de km2 / 7,5 pour l’Amazonie), avec des performances de rétention de carbone, pour les forêts boréales, deux fois plus importantes que celles des les forêts tropicales.
3 millions d’hectares de forêts, soit l’équivalent de la Belgique, ont brulé en Sibérie durant l’été 2019. Le phénomène était visible des satellites. La spirale infernale de la délivrance de carbone dans l’atmosphère qui favorise le réchauffement climatique, qui favorise les incendies ... est bel et bien enclenchée.
 

En 2021, les feux on repris en avril. Leur fin est prévue pour la fin octobre. Cette année ils ont particulièrement dévasté la Région de Sakha (étendue sur 4 fois la surface de la France), avec des panaches de fumées très polluantes qui partaient vers l'Arctique. Article National Geographic. 
 

PARCE QU'ON N'A RIEN TROUVÉ DE MIEUX, depuis 500 millions d'années, POUR PRODUIRE DE L'OXYGÈNE, nous allons planter 15 millions d’arbres en Sibérie, soit 34 000 hectares reboisés, avec le conseil des plus grandes universités de Russie et l'expertise terrain de notre partenaire planteur d'arbres, Cèdres de Russie.

Nous doublons notre défi écologique d'un défi sportif !

Il vient servir notre cause et sera notre témoin de l'état de notre continent : Patrick Malandain s’élancera en avril 2022 de Montreuil sur Mer pour rejoindre Vladivostok, à l’extrême est du continent euro-asiatique. Courir sur cette traversée continentale, c'est prendre le temps d'observer l'environnement et de faire connaissance avec ses habitants, "à hauteur d'homme". 
Patrick va parcourir 12 600 km, de l'Atlantique au Pacifique… 180 journées à courir, 70 km de course par jour… et
15 millions de foulées ! Symboliquement, chacune de ses foulées va planter un arbre.